Espion pc : harcèlement au travail et sur internet
Oubliez l’after-work pour boire un verre entre collègues qui est devenu un devoir plus qu’un plaisir. Oubliez le petit café ou le demi-paquet de cigarettes pour atténuer le stress dans la journée quand on a des rapports en retard ou un patron sévère. Surfer sur le Web au travail , quand on est pas équipé de logiciels espion de surveillance, est devenu le passe-temps favori des Français au 21e siècle. C’est devenu une addiction pour beaucoup, et parfois une véritable souffrance s’ils sont victime de harcèlement au travail ou d’intimidation sur internet car de ce fait il n’y a plus de frontière, la violence morale les suit chez eux pour devenir cyberharcélement … De ce fait sans espion pc, des employés n’arrivent pas à effectuer leur travail correctement au bureau. Mais il existe une solution très simple, la mise en place de logiciels espion sur les ordinateurs des employés afin de voir ce qu’ils font et écrivent.
cyber intimidation et harcèlement moral au travail
La solution pour empêcher la souffrance au travail
Pour éviter le harcèlement moral au travail, la meilleure solution est de mettre en place, sur les postes des employés, un espiogiciel de contrôle de l’utilisation de l’ordinateur. C’est un mouchard informatique, un espion pc très puissant. Une fois en place il est en mesure de fonctionner de manière totalement invisible et enregistre toutes les activités de l’ordinateur.
Lors de son exécution, le logiciel keylogger enregistre les saisies textes qui ont été tapées, que cela soit sur Internet ou via les logiciels tels que le navigateur (chrome, Internet Explorer, Firefox …), les mails, les logiciels comme Word, Excel, les chats de discussion en ligne et les messages instantanés, etc., en prenant note du temps de travail sur chaque activité et logiciels. Le mouchard informatique enregistre bien sur tous les sites Web visités par l’employé et même les titres des pages. On peut ainsi rapidement et facilement trouver des informations sur les auteurs ou les victimes de ce harcèlement. Et être en mesure de réagir au plus vite car il est indéniable que cela génère de la souffrance au travail, d’où le plan du gouvernement contre le cyber-harcèlement.
A ne pas oublier : cet écrit décrit les programmes espion adaptés pour un ordinateur fixe. Au cas où vous cherchez à acquérir un logiciel de piratage dans le but de traquer ou alors espionner un mobile, par exemple un Android Galaxy S4 mini ou bien alors compatible avec un Optimus F5, alors allez faire un tour en priorité du côté des sites internet Spyera, GsmSpy ou MSpy, dédiés à ces programmes espion pour mobiles.
En règle générale, le logiciel espion est installé directement sur la machine de l’employé cible ou alors, si vraiment cela n’est pas possible, sur le serveur. Il s’intègre avec le pare-feu, cache moteur ou serveur proxy et via une base de données ou URL, surveille et contrôle les accès au site Web. Pour compléter cette surveillance, le mouchard pour ordinateur prend des copies d’écrans comme si vous aviez installé une caméra de surveillance au dos de l’ordinateur. Et sera configuré pour envoyer les fichiers d’enregistrement par mail.
Les entreprises ne disposant pas de politiques pour la gestion de l’activité Internet au travail peuvent avoir à faire face à une multitude de problèmes (le stress, le harcèlement, la cyberintimidation, la discrimination au travail… ) et devoir mettre en place des solutions d’espionnage ou de surveillance pour empêcher la perte de productivité de l’employé. Les employeurs doivent rester proactifs en termes de définition des politiques claires sur l’addiction au Web. Et comme évoquées plus haut, les entreprises peuvent également appliquer une politique simple et peu couteuse en mettant en place avec un logiciel qui enregistre automatiquement le travail des employés et bloquer ainsi à la source la tentation de surfer sur son temps de travail.
Etude sur les webaddict au travail
Et cette situation, cette souffrance au travail, ne risque pas de se calmer. Selon une étude 25 % des employés se sentent accro à Internet, alors qu’un maigre 8 % seulement des personnes interrogées disent n’avoir aucun signe d’addiction au Web quand ils sont dans leurs bureaux. Faire une étude de ces cas et leur faire évoquer et partager leur dépendance à Internet, voir leur tendance au harcèlement par voix numérique (mail, réseaux, sms, téléphone portable …) est riche d’information pour de nombreux employeurs et professionnels des ressources humaines qui ne parviennent pas à reconnaître les signes de ce fléau et de cette souffrance. Et donc la baisse corrélative des niveaux de productivité.
Des études ont montré que de 25 à 50 % des signes de la cyberdépendance se produisent sur le lieu de travail. Ce qui signifie que ces employés sont payés pour participer aux activités de l’entreprise mais font à la place des taches qui ne sont pas liées à leur travail mais qui concerne leur vie personnelle voir même utilisent ce temps pour harceler leurs collègues. L’enquête qui a été réalisée par BrandyChor Interactive à travers plus de 305 employés a déterminé que le travailleur moyen dépense plus de 3 heures de travail chaque semaine à surfer sur des sites Web qui ne sont pas liés à son travail, comme les réseaux sociaux tels que Twitter ou Facebook. Sans compter le temps de traitement de leurs mails personnels.
Parmi les personnes interrogées sur l’espion pc, 67 % ont avoué la visite de sites Web pour des raisons totalement personnelles. Qu’ils soient e-acheteurs compulsifs ou infoaddicts. Les accros des nouvelles technologies ne sont pas en reste, avec les accros aux sites coquins et ceux qui n’arrêtent pas de jouer en ligne. Et tous pratiquent durant certaines heures de leur travail s’ils le peuvent. L’enquête montre qu’il y a un énorme fossé entre ce que font les employés sur Internet et ce que les employeurs savent de leurs pratiques. Si rien n’est fait dans l’entreprise, la libre utilisation d’Internet peut conduire à une perte de productivité sévère sans omettre les questions de responsabilité juridique pour les organismes.
Mais alors que de nombreuses entreprises font un effort pour bloquer ces activités et enrayer la souffrance au travail, elles ne font pas toutes quelques choses pour y remédier. Par exemple, tandis que 78 % des employeurs bloquer l’accès des employés à la pornographie, seulement 47 % bloquer l’accès au jeu des sites, 20 % aux boutiques et sites de vente aux enchères et 4% pour les sites d’actualité. D’autant qu’il y a d’autres dangers pour l’entreprise outre les harcèlements …
Les dangers de l’espionnage et du piratage
Un autre danger caché pour les entreprises est le risque de piratage soit pour faire de l’espionnage de données et informations soit pour perturber l’entreprise. Cela peut être sous la forme d’un code malveillant infiltré par un accès Web non surveillé. Tous les réseaux d’entreprises peuvent être exposées par inadvertance à un vers, à un virus ou un autres programme malveillants comme les logiciels espion et ceci même lors de surf fait par les employés en recherchent de moments de détente en ligne.
Le danger de l’espion pc dans les réseaux de l’entreprise
Le virus propagé par le Web est une menace croissante pour les entreprises car il infecte alors tout le réseau et ne fait plus que juste un piratage, mais souvent détruit les données. Par exemple un employé qui navigue sur les sites de voyage pour ses vacances ou dédiés au sport peut très bien infecter instantanément le réseau de l’entreprise et ceci, non pas pour faire de l’espionnage, mais juste détruire … Il est donc vraiment essentiel pour les entreprises d’arrêter ce type de code à la source, plutôt que de réagir une fois qu’il pénètre dans la passerelle. Pour cela il n’y a pas de solution autre qu’éduquer ses employés sur l’espion pc et bloquer ce qu’il faut via les firewalls.